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Quand le rêve canadien devient une réalité et plus, un quotidien.
dimanche 30 septembre 2012
vendredi 28 septembre 2012
Les déménagements du 1er juillet au Québec
Image courtesy of Ambro / FreeDigitalPhotos.net
Au Québec, il y a une date clé à retenir, le 1er juillet. Oui, c’est la fête du Canada, mais c’est surtout le jour du déménagement au Québec. En effet, la majorité des baux sont basés sur un modèle d’un an se terminant au 30 juin. Les appartements sont donc libérés autour de cette date là. Cependant, tant que vous ne connaissez pas la date du déménagement de votre prédécesseur, vous ne pouvez pas emménager. Mais, lui aussi attends de savoir quand il pourra occuper son prochain logement. Et ainsi de suite, cela fait que beaucoup de déménagement se passent en date du 1er juillet étant donné que techniquement à partir de ce jour, le bail est bien à votre nom !
Comme vous le devinez, les déménageurs ne sont jamais aussi
occupés que le 1er juillet, et les prix passent d’une moyenne de 70$
de l’heure à 200$ de l’heure pendant les deux semaines entourant
cette date! Loi de la demande oblige. Solution de rechange : louer un
camion de déménagement, acheter un diable pour transporter les objets lourds, s’entourer
de quelques amis (autant que possible s’il vous faut porter les électro-ménagers
en bas des escaliers !) et prévoir un souper pour tout le monde une fois le
gros du travail accompli. Note important : pas de bière pendant un
déménagement sinon l’assurance ne vous rembourserait pas en cas d’accident ou
dommages. De plus, c’est une bonne idée de prévenir son assureur de la date du
déménagement pour être sûr de bien couvrir le transit ; et en profiter
pour vérifier la valeur couverte lorsque les meubles sont hors du logement.
Même affaire pour ce qui est de la location de transport,
les camions sont pris d’assaut. Compter 200$ pour une matinée ou une après-midi
avec le camion + les assurances + les taxes. J’ai réussi à trouver un camion
deux semaines avant le 1er pour le 1er, alors ça se fait.
Déménager le 1er juillet est toute une expérience, mais il faut bien
le vivre au moins une fois avant de se libérer du sort en achetant une maison
ou un condo !
Pour ceux qui s’inquièteraient, il y a bien sûr des
appartements à louer en dehors de cette date, simplement moins !
mardi 25 septembre 2012
Le Québec est-il un Eldorado? Partie 1 – Le Travail
Venez au Québec, vous trouverez facilement du travail et vous aurez une meilleure qualité de vie au travail. Vrai ou faux?
C’est une réponse normande que j’ai envie d'apporter. Contrairement à une idée répandue, le Québec n’est pas désespérément à la recherche de Français pour combler des milliers de postes vacants sur le marché du travail. En émigrant au Canada, il ne faut pas s’attendre à ce que les employeurs vous courent après et vous accueillent les bras ouverts.
De un, ces employeurs ne connaissent ni le système scolaire français, ni les diplômes français. Le concept des Grandes Écoles est tout à fait mystérieux à leurs yeux – expression faisant plus allusion à l’école primaire pour les canadiens qu’à un système d’ « élites ». Dans la même lignée, un critère recherché pour beaucoup d’emplois sont les accréditations des Ordres canadiens. Cela demande souvent un retour aux études long et onéreux pour les obtenir! Si vous avez de l’expérience professionnelle, ne vous attendez pas non plus à ce que votre entreprise française soit connue au Québec. Mettez-vous donc à la place des employeurs d’ici. Ils ont face à eux des nouveaux arrivants dont ils ne connaissent réellement ni les études, ni les employeurs précédents. S’ajoute parfois un problème de langue, car maitriser l’anglais est primordial dans beaucoup d’entreprises, vos collègues et supérieurs étant potentiellement anglophones!
Pour ajouter à la difficulté, ces candidats français ne connaissent pas le Canada et le marché canadien. Imaginez travailler en marketing par exemple pour une marque en France sans connaitre aucun des des clients potentiels et leur façon de travailler : Carrefour, Leclerc, Les Galaries Lafayette ou le Bon Marché…ne pas connaître le marché local, les clients, les fournisseurs et les concurrents peut tout à fait vous faire perdre le poste face à un candidat canadien. Cela souligne l’importance de la première expérience canadienne qui peut être ou ne pas être forcément dans votre domaine actuel précis. Ce premier travail, souvent en deçà de vos qualifications, permet de se familiariser avec une industrie, avec les us et coutumes locaux, et surtout de se faire un réseau. Il est important d’obtenir des références locales pour obtenir un emploi, d’autant plus que beaucoup de recrutements se font via les réseaux. A l’inverse, partir en mauvais termes d’une entreprise peut s’avérer dévastateur pour votre carrière. Le monde des affaires québécois est petit!
Cela étant dit, qu’en est-il une fois obtenu le poste convoité?
Après, tout dépend de vous, du poste et de la culture d’entreprise. Des postes dont les horaires sont de « 9 à 5 », il y en a. Mais, parmi les postes dits de « professionnels » ou de cadres, le 9 à 5 est déjà moins évident. Les deadlines, la pression, les voyages et les jeux de politique interne peuvent être tout aussi intenses que dans n’importe quelle autre entreprise du monde selon votre travail! Si vous cherchez à fuir votre métier actuel, reprendre la même carrière ici n’est pas la solution.
N’oubliez pas non plus que la norme canadienne est de deux semaines de vacances par année, soit 10 jours. Les vacances correspondent à un avantage à l’ancienneté au Canada. Vous obtenez une semaine de plus après 5 ans dans l’entreprise. Toutefois, il est tout à fait possible de négocier des vacances supplémentaires lors de la négociation salariale. Ne l’oubliez pas!
Le ton de cet article se veut volontairement pessimiste en contrepartie d’un excès d’optimisme que l’on rencontre souvent. Il y a des avantages en France qui sont non négligeables et des inconvénients au Canada qui le sont tout autant! Une seule conclusion, il n’y a pas d’Eldorado ici, même s’il est tout à fait possible de trouver un travail à force d’efforts, d’adaptation, de volonté, et parfois aussi, de coup de pouce de la chance! Les difficultés peuvent juste être plus nombreuses qu’on ne le pense avant de pouvoir prétendre faire partie des plus de 90 pour cent des Canadiens qui se disent satisfaits de leur vie!
C’est une réponse normande que j’ai envie d'apporter. Contrairement à une idée répandue, le Québec n’est pas désespérément à la recherche de Français pour combler des milliers de postes vacants sur le marché du travail. En émigrant au Canada, il ne faut pas s’attendre à ce que les employeurs vous courent après et vous accueillent les bras ouverts.
De un, ces employeurs ne connaissent ni le système scolaire français, ni les diplômes français. Le concept des Grandes Écoles est tout à fait mystérieux à leurs yeux – expression faisant plus allusion à l’école primaire pour les canadiens qu’à un système d’ « élites ». Dans la même lignée, un critère recherché pour beaucoup d’emplois sont les accréditations des Ordres canadiens. Cela demande souvent un retour aux études long et onéreux pour les obtenir! Si vous avez de l’expérience professionnelle, ne vous attendez pas non plus à ce que votre entreprise française soit connue au Québec. Mettez-vous donc à la place des employeurs d’ici. Ils ont face à eux des nouveaux arrivants dont ils ne connaissent réellement ni les études, ni les employeurs précédents. S’ajoute parfois un problème de langue, car maitriser l’anglais est primordial dans beaucoup d’entreprises, vos collègues et supérieurs étant potentiellement anglophones!
Pour ajouter à la difficulté, ces candidats français ne connaissent pas le Canada et le marché canadien. Imaginez travailler en marketing par exemple pour une marque en France sans connaitre aucun des des clients potentiels et leur façon de travailler : Carrefour, Leclerc, Les Galaries Lafayette ou le Bon Marché…ne pas connaître le marché local, les clients, les fournisseurs et les concurrents peut tout à fait vous faire perdre le poste face à un candidat canadien. Cela souligne l’importance de la première expérience canadienne qui peut être ou ne pas être forcément dans votre domaine actuel précis. Ce premier travail, souvent en deçà de vos qualifications, permet de se familiariser avec une industrie, avec les us et coutumes locaux, et surtout de se faire un réseau. Il est important d’obtenir des références locales pour obtenir un emploi, d’autant plus que beaucoup de recrutements se font via les réseaux. A l’inverse, partir en mauvais termes d’une entreprise peut s’avérer dévastateur pour votre carrière. Le monde des affaires québécois est petit!
Cela étant dit, qu’en est-il une fois obtenu le poste convoité?
Après, tout dépend de vous, du poste et de la culture d’entreprise. Des postes dont les horaires sont de « 9 à 5 », il y en a. Mais, parmi les postes dits de « professionnels » ou de cadres, le 9 à 5 est déjà moins évident. Les deadlines, la pression, les voyages et les jeux de politique interne peuvent être tout aussi intenses que dans n’importe quelle autre entreprise du monde selon votre travail! Si vous cherchez à fuir votre métier actuel, reprendre la même carrière ici n’est pas la solution.
N’oubliez pas non plus que la norme canadienne est de deux semaines de vacances par année, soit 10 jours. Les vacances correspondent à un avantage à l’ancienneté au Canada. Vous obtenez une semaine de plus après 5 ans dans l’entreprise. Toutefois, il est tout à fait possible de négocier des vacances supplémentaires lors de la négociation salariale. Ne l’oubliez pas!

dimanche 23 septembre 2012
Les Amis
Lorsque l’on quitte son pays, on sait ce que l’on quitte, mais on ne sait pas ce que l'on va trouver. C’est le principe d’une aventure avec toutes les nouvelles opportunités qui s’offrent à vous. Généralement, ce qui manque le plus, ce sont les amis et la famille. Certains d’entre vous penseront peut-être que c’est la nourriture, fromages et saucissons, et le bon vin à bas prix, mais on se rend compte rapidement que l’on retrouve d’autres produits fétiches dans chaque pays où l’on habite. Toutefois, qu’en est-il des amis ?
Il y a trois catégories d’amis que vous pouvez vous faire : les locaux – canadiens ou autres qui ont grandi et habité au Canada ; les résidents permanents – émigrés de longue durée qui ont pour optique de s’installer et de rester dans le pays ; et ceux qui sont en visite longue durée, PVTistes ou stagiaires, majoritairement des Français ou autres personnes en visite loin de son pays. Cette dernière catégorie vient avec un risque quasi-certain de « retour au pays », et donc de déception à leur départ. Toutefois, ces amis sont habituellement ceux qui profitent le plus de la vie : motivés par les sorties et les voyages à travers le pays, c’est un bon moyen de découvrir le Canada rapidement !
Beaucoup des amis du début ne seront que temporaires : des connaissances éphémères qui permettent de passer la solitude des débuts et de l’installation dans une nouvelle ville. Des sorties et des rencontres, mais peu de véritables atomes crochus.
Cependant, il arrive parfois que l’on rencontre de vrais amis. Des amis avec qui l’on parle de tout et de rien, mais avec qui le temps passe vite. Des amis avec qui l’on rie et qui vous connaissent vraiment. Des amis qui vous aident à passer des moments difficiles, sans même le savoir ! Quand ces amis là repartent dans leur pays, contrairement à ces amis du début, ils vous manquent. Ce ne sont pas des amis du Canada ou des amis français, ce sont juste de vrais amis.
La leçon dans tout ça est simple. Beaucoup de Français arrivent au Canada et ne veulent pas côtoyer d’autres Français. En effet, tout le monde comprend que le but de partir dans un nouveau pays n’est pas de rester entre gens de son pays, mais de rencontrer des gens d’ici et découvrir de nouvelles cultures. Mais, si vous décidez de faire ça, vous allez manquer l’occasion de rencontrer ces rares, mais vrais amis, des gens qui vous comprennent et traversent les mêmes expériences que vous. Même si ces amis là repartent après une courte année, ça aura valu la peine d’apprendre à les connaître et de passer du temps avec eux !
jeudi 5 mai 2011
7 Conseils pour trouver un emploi à Montréal…et ailleurs!

La décision d’émigrer est entourée d’incertitudes, de possibilités et de peurs. Une inconnue majeure de l’équation concerne l’emploi. Entre les histoires catastrophiques et les histoires miraculeuses, quel va être votre sort? Il y a une question d’expérience, de diplômes, d’attitude, et de secteur industriel, mais aussi une grande partie liée à la chance. Pour mettre toutes les chances de votre côté (ma théorie est que la chance se manipule quand même un peu!), voici quelques conseils pour trouver un emploi à votre arrivée à Montréal.
1- Quelques jours avant votre arrivée, mettez votre CV en ligne sur les sites de recrutement principaux : monster.ca, jobboom.ca, workopolis.com . C’est le meilleur moyen de vous rendre visible auprès des agences de recrutement. Une fois sur le site, profitez-en pour lire les conseils de carrières locaux. Cela vous donnera une idée de la culture professionnelle au Canada : http://carriere.jobboom.com/.
Faites attention à toutes les offres bidon que vous allez recevoir en appliquant le principe de précaution : ne répondez pas à toute offre qui vous paraît étrange. Dans le doute, vérifiez à travers les forums s’il ne s’agirait pas d’une arnaque.
2- A votre arrivée, contactez les agences de recrutement. C’est le moyen de recrutement le plus courant par ici, surtout quand vous ne connaissez personne pour vous coopter en entreprise! Par exemple, Adecco, Robert Half, Quantum, Michael Page ou pour les gens plus spécialisés en comptabilité et finance, CFO2Grow. Vous pouvez les contacter directement. Sinon, un moyen efficace est de postuler à leurs offres en ligne. Lorsque les recruteurs de l’agence vous contacteront, vous pourrez alors discuter des autres offres disponibles. Malheureusement pour les PVTistes, certaines agences n’acceptent pas ces profils au permis de travail temporaire.
3- Activer votre réseau. Vous ne connaissez personne? Vous ne le savez pas encore, mais vous avez quand même un réseau à Montréal. Que ce soit la Chambre de Commerce française au Canada, les anciens de votre Ecole, les PVTistes, vous serez surpris de l’aide que vous pourriez recevoir. Ce n’est pas le moment d’être introverti, il faut prendre contact avec ces réseaux. Des sites de réseaux comme Linked In peuvent aussi être une source de contacts!
4- Si vous tardez à trouver un travail dans votre domaine, prenez un travail temporaire : call-centers, commerces, entrepôts, contrats temporaires en entreprise. Allez voir les agences de placement temporaire et regardez les possibilités. Qui sait, si vous allez faire de l’entrée de données en entreprise pendant quelques semaines, vous pourriez vous faire des contacts utiles ou découvrir d’autres possibilités d’emploi dans cette entreprise!
5- Visitez les sites Carrières des entreprises. Postulez et n’hésitez pas à contacter les agences de recrutement pour qu’elles vous aident à obtenir un entretien. Les recruteurs ont parfois des contacts dans les départements RH des entreprises – cela pourrait vous aider à passer le premier tri des CVs!
6- Au grand minimum, renseignez-vous sur les équivalences de diplôme. Si vous avez besoin d’une accréditation dans votre métier ou domaine, obtenez tous les détails sur ce qu’il vous faudrait accomplir pour l’obtenir. Lorsque vous serez en entretien, vous voulez au moins démontrer votre connaissance du système et votre volonté de vous intégrer rapidement.
7- Dernier petit conseil. Pratiquez votre anglais si vous ne le parlez pas couramment. C’est un avantage majeur de parler couramment anglais et français à Montréal et cela pourrait vous donner le coup de pouce final pour obtenir un travail!
mardi 3 mai 2011
Vivre avec un décalage horaire permanent

Quel décalage horaire? Vous me direz que, passé une semaine, le décalage horaire ou « jet lag » disparaît de soi-même et est très vite oublié. Ce n’est pas tout à fait vrai, les dernières études ont prouvé qu'un décalage horaire récurrent – plus de 6 heures au moins deux fois par semaine – réduit la capacité du cerveau à produire de nouveaux neurones au niveau de l’hippocampe et induit ainsi des troubles de la mémorisation… chez les hamsters ! Pour plus d’information sur l’étude, c’est ici : Article Radio-Canada.
Ce n’est toutefois pas à ce décalage horaire là que je pense. Lorsque vous vous levez le matin à Montréal, disons 7h du matin, il est déjà 13h en France. La matinée est déjà passée là-bas pour la plupart des gens que vous connaissez : amis, famille, etc…Vous partez alors au travail. A la pause déjeuner soit midi, il est déjà 18h et c’est la soirée en France. Lorsque vous quittez le travail vers 17h (oui, on est à Montréal 17h est un horaire très courant pour quitter le travail), c’est déjà la fin de soirée, soit 23h. Là où je veux en venir, c’est que dans une journée de travail courante, il est très difficile de communiquer avec l’autre côté de l’Atlantique à cause du décalage horaire ! Impossible d'appeler vos amis en France en sortant du travail pour partager votre nouvelle expérience de vie car tout le monde dort déjà. Il vous faudra globalement fournir un effort supplémentaire pour communiquer avec vos anciens contacts et cela peut s’avérer frustrant au quotidien.
Cela fonctionne d’ailleurs aussi avec le travail si vous avez le plaisir de côtoyer ces milieux internationaux où vos collègues sont répartis dans différentes zones horaires. Un des effets positifs est que pendant les temps « morts » où tous vos contacts professionnels ou personnels sont indisponibles, vous aurez plus de temps pour vous. C’est le moment d’effectuer votre travail sans interruption ou de vaquer aux occupations ménagères (ou encore d’éteindre le pc et de lire un livre).
Note au passage: les messages textes envoyés par téléphone du Canada vers la France à 3h du matin ont tendance à réveiller les gens et à les rendre de mauvaise humeur, sauf si c’est pour leur souhaiter bon anniversaire. Dans ce dernier cas, vous ne pouvez pas manquer d’être le premier message du jour!
Un autre effet de ce décalage horaire quotidien est de vous transformer en être divisé constamment entre deux zones horaires. Vous ne pourrez rien y faire, une partie de vos pensées sera toujours 6 heures en avance là où est votre ancienne vie (ou changer le chiffre selon vos pays d’expatriation vs celui d’origine). C’est peut-être une autre façon dont s’expriment les problèmes de mémorisation dans l’étude sur les hamsters…pour tout expatrié qui mène une double vie dans son pays d’origine et dans son pays d’accueil, il est difficile de se concentrer et de mémoriser quand son esprit et ses pensées sont constamment décalés dans le temps de plusieurs heures !
lundi 2 mai 2011
Bedondaine et Bedons Ronds... Une micro-brasserie qui vaut le détour de Montréal à Chambly!

Le Québec est un lieu idyllique pour tous ceux qui aiment les micro-brasseries. Je pourrais en mentionner beaucoup d'autres (et je le ferai), mais la micro-brasserie Bedondaine et Bedons Ronds est un coup de cœur sur la Rive-Sud! Elle est située à Chambly à deux pas du vieux centre-ville et du fort de Chambly. Vous y trouverez des bières brassées localement et qui varient au cours du temps. La photo est en hiver, mais la terrasse devant est très sympa lorsque le temps s'y prête. Il y a aussi un musée de la bière - une collection de bouteilles et d'items de bières qui vous entoure dans le pub!
Profitez d'une petite visite à Chambly (25km de Montréal) pour faire un tour là-bas!
Pour en savoir plus, http://www.bedondaine.com/ . Vous pouvez même consulter les bières en cours de maturation ou servies présentement: http://www.bedondaine.com/bieres.html
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